ABONNEZ-VOUS A MA NEWSLETTER : CLIQUEZ ICI
Chaque semaine, vous recevrez des infos, des bons plans, des astuces, des liens vers des discussions utiles et intéressantes...

vendredi 19 mars 2010

Etre actionnaire par gros temps




Je vous recommande chaudement de lire la lettre aux investisseurs d'Amiral Gestion, qui parle de manière simple de choses compliquées. Je la lis régulièrement. Elle vient même de recevoir le feu vert de nos amis volatiles, fidèles lecteurs du présent blog (qu'ils en soient remerciés). C'est un gage de qualité, non ?

Ce mois-ci, la lettre explique qu'il faut se montrer pessimiste pour les économies occidentales, mais que ce n'est pas une raison pour ne pas acheter d'actions. L'auteur donne même des pistes concrètes. Ne vous enfuyez pas : c'est réellement facile à lire.

Voici le lien pour trouver toutes les lettres d'Amiral Gestion depuis 2002, y compris la dernière :

http://www.amiralgestion.fr/Presentation/LettreInvestisseur.php

2 commentaires:

Anonyme a dit…

SCPI : des souscripteurs en déshérence

http://www.lesechos.fr/pme/patrimoine/020416269146-scpi-des-souscripteurs-en-desherence.htm

le 31 mars. A cette date, se tiendra, en principe, l'assemblée générale de la SCPI Génépierre qui doit désigner son futur gérant. L'ancien, Société Générale Asset Management Alternative Investments (SGAM AI), a en effet cessé de remplir son mandat. Du coup, près de 10.000 porteurs de parts se sont retrouvés depuis près d'un an orphelins d'un interlocuteur professionnel pour administrer leur patrimoine et défendre leurs intérêts !

un conflit né entre la société de gestion et les associés. Ces derniers reprochaient déjà les piètres performances de la SCPI. Mais leur colère a connu un pic le jour où ils ont appris le projet de rapprochement entre Crédit Agricole Asset Management (CAAM) et Société Générale Asset Management (SGAM), alors maison mère de SGAM AI. La gestion des SCPI du Crédit Agricole a en effet défrayé la chronique voici une dizaine d'années. Bon nombre de particuliers avaient de bonnes raisons de préférer souscrire à la Société Générale plutôt qu'à la Banque verte.

Gestion « hasardeuse »

Ils s'en prennent aussi à la gestion de l'ancien gérant, qu'ils qualifient de hasardeuse. « La part de Lion SCPI, par exemple, ne vaut plus que 70 % - en monnaie courante qui plus est -de ce qu'elle valait en 1990, vingt ans plus tôt », lance Jean-Jacques Bonfil-Praire, le président de l'association, ajoutant que « cette même SCPI baisse sa distribution pour la seconde année consécutive. Ses résultats sont plombés par des achats hasardeux réalisés en 2007 et 2008, dont les biens concernés ont été payés très au-dessus de ce qu'ils valent aujourd'hui à dire d'expert ». L'association reproche aussi le mode de rémunération du gérant, qui s'exprime en pourcentage du prix d'achat, ce qui n'est pas forcément favorable aux associés, puisque cela signifie que plus le prix d'acquisition est élevé, plus la commission est forte. Mais une valorisation élevée n'est pas automatiquement synonyme d'un immeuble de qualité. D'où le ressentiment de l'Appscpi à l'encontre de l'ex-gérant et a fortiori, à l'égard d'Amundi.

Guillaume a dit…

Eh oui. Tout investissement est à la merci des autres. Et ces autres peuvent être peu scrupuleux. Les clients de Madoff en savent quelque chose.