Derrière ce joli carton didactique, vous aurez reconnu le palais Brongniart qui abrite la Bourse de Paris. Comme je l'écrivais dans mon billet précédent, l'actionnaire est très mal considéré en France. La rhétorique dominante consiste à clamer que le monde du travail est saigné par ceux qui détournent les richesses pour s'assurer de juteux revenus financiers.
C'est aussi la base de bien des raisonnements sur le sauvetage des retraites par répartition : au lieu de reculer l'âge de la retraite à taux plein à 67 ans, il aurait suffi de prendre l'argent où il était, donc dans la poche des riches actionnaires, les riches, les autres en somme.
Pourtant, en travaillant sur la mise à jour des Clés de la Réussite, je viens de découvrir une donnée intéressante. La CARPIMKO, temple de notre
Autrement dit, les paramédicaux sont de riches actionnaires. Pis que tout, nous faisons vivre des traders, êtres sans foi ni loi par définition. Quelle horreur ! Décidément, le grand capital salit tout, même la retraite par répartition.
1 commentaire:
Je suis entièrement d'accord avec cela. Toutes les caisses de retraites d'europe voire du monde ont leurs présentes et futures ressources dans l'actionnariat. Nous sommes donc tous sans exception de futurs sales riches quand nous serons à la retraite ; même Mélenchon !Les commerçants et artisans avec leur retraite de pauvres deviendront donc des riches avec 650€ par mois...
Le monde devient fou...
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